Confrontations
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Pourquoi la poésie est elle un art ?
Elle l'est car elle émèrge du plus profond de soi.
Tel un Picasso qui peint sa toile ;
Un Van Gogh qui se décrit ;
Un Mozart qui raconte sa vie en musique
La poésie est belle ou triste, elle est comme celui qui l'écrit.
Léo
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Je suis là
Je le reste
Je suis enraciné comme un chêne
Je regarde les gens passer
Mais tu n’es pas là
Pourquoi ?
Je m’interroge
Toi qui m’aime comme je suis
Tu es partie
Je suis triste, impuissant
Je reste enraciné
Comme un chêne
Dans mon monde de tristesse
Je ne sus pas comprendre tes avertissements
Tes cris de détresse
J’étais là
Enraciné dans mon monde
Et je n’ai pas compris
Et je t’ai perdue !
Léo
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Quand tu m’as quitté, j’étais triste alors j’ai pleuré.
Pleuré, pleuré, pleuré
Toutes les larmes de mon cœur
J’ai marché
J’ai marché en pleurant
Je suis parti loin pour oublier
Et une fois que j’avais sombré
Que je m’étais perdu
Et que je ne pouvais plus pleurer
Tu n’avais toujours pas réapparu
Alors là ……..
…………..J’ai bu
…………..J’ai fumé
…………..J’ai dealé
…………..J’ai volé.
Et je me suis aperçu que je ne pleurais plus
Alors j’ai continué jusqu’au jour où je me
Suis fait enfermer
Alors là j’ai commencé………….
…………………Commencé à m’interroger
…………………Commencé à regretter
…………………Commencé à pleurer
…………………Commencé à écrire
Au début les larmes revenant
Tombaient sur ma feuille
Elles me réconfortaient
Puis quand elles se sont arrêtées
J’ai été libéré
J’ai continué à écrire
Mais mes larmes n’étaient plus là
Et vite cela devint monotone
Et puis j’ai recommencé
………………J’ai bu
………………J’ai fumé
...........J’ai dealé
………………J’ai volé
Mais là je t’ai revue
Tu ne m’as pas reconnu
J’ai pleuré, pleuré, pleuré
Puis j’ai réécrit
J’ai réécrit jusqu’à ma mort.
Léo
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Je t'aime
Je l’ai su dès que je t’ai vue
Tu restes dans mon coeur
Un amour enfantin
Un premier amour
Mon premier baiser
Ma première satisfaction
Mais aussi ma première déception
Tu fus ma première fois
Et tu le resteras
Gravée dans la roche
Gravée dans mon cœur
De ces lettres rouges.
Léo
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Rosa
Elle regardait le monde en noir et blanc
De ses yeux verts, elle se souciait peu
Des guerres
Des querelles
Des conflits politique
Des conflits familiaux
Elle regardait le monde en noir et blanc
Elle adoucissait les mœurs
Elle nous regardait en se disant :
Pourquoi les hommes sont-ils si compliqués
Quand ils pourraient vivre comme des chats.
Léo
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Dans un noir incessant luisait une bougie
La plume éclairée par la faible lumière
Laissait apparaître un poème
Un poème qui pleurait
Qui pleurait l'amour
Qui pleurait la mort
Qui pleurait la joie
Léo
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je me suis perdu
très loin dans mon coeur si grand
je me suis perdu si profondément
que je n'apercevais plus que la ptite lumière rouge
elle était partout
dans tout les coins de mon coeur
même dans les endroits les plus sombres
il yavait la ptite lumière rouge
quand je m'approchais elle reculait
et quand je reculais elle s'approchait
et un jour elle c'est laisser approchée et j'ai vu ton visage.
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Tu es comme le brouillard
Tu est là
Je te vois mais je ne peux pas te toucher
Tu me regardes avec tes yeux brumeux
Je t'embrasse
Tout les matins
Mais tes lèvres me paralysent
Elles sont froides
Elles me glacent
Me pétrifient
Et tes yeux me déshabillent
Je rougis
Mais tu restes d'une froideur acre
Je pleur !
Là tu apparaîs
Sous ta beauté au grand soleil
Un soleil qui se confond à toi
Un soleil qui luit de mille feux
Et là alors je me retrouve au pays des merveilles
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dès que je t'ai vu mes yeux se sont ouverts
ils se sont mis à briller, briller comme un soleil
avec une telle intensité que tout m'est apparu
n'avais je pas raison de te regarder
et de me laisser envoûté
Je ne rêvais pas tu étais bien là
Et si bizarre était cette sensation
Que de T'Aimer avec le cœur
et non avec les yeux.
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Poème poésie poète vers rime
Ma vie n'est plus liée qu'a ça
Elle s'accroche à une fil d'acier
Un fil fin mais solide
Elle s'accroche à la poésie
Elle ne vit plus que de ça
Ma vie est triste
La poésie c'est la petite bougie
Qui éclaire mon cœur noir de cendre
Mon cœur, du moins ce qu'il en reste
Il est noir et néfaste
Je pleur, mes larmes son toujours là
Comme dans tous mes vers
Toutes mes poésies
Elles font partie de ma vie
Je ne suis plus homme
Je suis néant
Et je meure, je meure lentement
Dans l'agonie de mes tourments
Je suis ivre d'angoisse
En manque de vie
Ma plaie ne veut pas se refermer
Au contraire elle s'ouvre
Et s'infiltre en moi
Tel du poison
Sauver moi de cette décadence .
Si longue et si douloureuse
Je me vois sombrer
Je ne rêve plus
Je ne dors plus
Et quand je ferme les yeux
Les visions qui me harcellent
Me font crier
Crier ma vie.
L'apogée est une des dernières choses qui me reste.
Je rends mon dernier souffle
Mon dernier souffle de déchéance.
Léo
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La mort rime en noir
La mort est le défouloir
Des dieux pleins de gloire
Heureux du désespoir
Leurs yeux sont miroir
Des pires histoires
La faucheuse est un pion sur l'échiquier noir
Elle met échec et mat les âmes pleines d'espoir
Elle sème la mort sans se laisser émouvoir
Mais ce n'est qu'un petit pion dérisoire
Tous ceci est illusoire
Ces dieux ont besoin d'un mouroir
Voici mon histoire
......... Mais surtout n'oublie pas
......... Que la mort est un jeu barbare
......... Au milieu de tant d'autre
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La mort (acrostiche)
L à au loin
A u bout d'un chemin
M a vie s'est arrêtée
O u plutôt contemplée
R egarde le miroir
T out de moi a changé
E t disparu lentement
S ous le bruit du silence
T out ce qui me restait
T ristement je l'avoue, je m'en suis retourné
R etourné au bout du chemin
I névitable cul de sac
S ur ce chemin de ma fin
T out s'arrêta en silence
E t c'est ainsi que je l'ai rencontrée,
La mort
Parlons des sujets qui fâchent ?
Raconter, raconter!
Je ne suis pas d'humeur à raconter
Raconter ma vie
Personne ne voudra l'entendre
Ma vie si peu importante
Je vis au milieu de millier de gens
Gens ne connaissant pas mon existence si peut attrayante
Je m'en vais
M'en vais rejoindre des oreilles en mesure de m'entendre
M'en vais verser
Mes dernières larmes
Larmes d'euphorie
Larmes angoisse
Larmes qui sont mon dernier compagnon
Qui m'accompagnent partout où je passe Pourquoi pleurer alors que l'on a la chance de vivre, pourquoi coulent-elles en ces moments si émouvants, pourquoi les gens sont parfois si méchants ?
Pourquoi tant de questions qui resteront sans réponse ?
Pourquoi tant de pourquoi ?
Pour nous répondre il faudra un temps auquel personne ne survivra
On s'ouvre et on attend ...
On attend le temps qui ne s'écoule pas
partir loin d'ici partir pour ne revenir que quand ma foie intérieur sera guérie
C'est poétique ?
Devrait-ce l'être
Poète a la naissance nous sommes, mais alors les gens qui savent exploiter ce don sont trop rares
Des dons rares mais si importents
Importants bien sur il sont Le monde est si triste des fois et si joyeux de temps en temps
Pourquoi des changements si soudain
Telle est la vie pourquoi si injuste elle est ?
Pleurer je veux
Mais je ne peux
Voila ça y'est j'ai tiré ma révérence, je me retourne avec mes larmes, mes sœurs , mes sœurs de foie
La vie si belle et si dure ...
Quelle est sa vraie facette
Dure, injuste
Belle, juste
Je te souhaite de ne pas la voir comme moi
Mais de la voir en rose bercé par les illusions
Mais si un jour tu ouvres les yeux
Alors comme moi tu verras la tristesse et la réalité,
au revoir
Que la vie serait bien si elle était... simple
Que le mot guerre n'existe pas
Que le mot pleur n'existe pas
Que le mot rire soit le meilleur
Que le mot ... seul et maltraité soit banni a jamais leo diane
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Petit bonhomme, petit bonhomme
Sèche tes larmes et dit moi tout.
Je serai ton confident
Tu me diras toutes tes misères
Et je pleurerai avec toi
Tu me diras touts tes bonheurs
Et nous les partagerons ensemble
Je serai ton confident poète
Je chanterai tous tes bonheurs
Et j’écrirai tous tes malheurs
Avec ma plume inépuisable
leo
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C’est terminé
Mon soleil ne brille plus
Il s’est éteint
Et il termine sa course folle
Dans le cimetière du coin
Il a fini sont vol
Heureux d’avoir volé
Volé au milieu des plus grands poètes
Il enterre avec lui
Ses plus profonds secrets
Ses poèmes les plus secrets
C’est terminé
Il s’en est allé .
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Mon cœur souffre
Il blêmit, il est fatigué par toutes ces balafres infligées par la vie
Je perds mes mots
Ils disparaissent, on me les vole, on me les prend
Pourquoi m’enlever mes mots, rendez les moi !
C’est triste.
Mes mots disparaissent.
Mère aidez moi vous qui étiez là pour moi.
Père toi qui m’aime, sauve mes mots.
Il me reste l’écriture sur la quelle je m’acharne
Mais maintenant c’est trop tard je suis condamné
Condamné à me taire et écrire
Mais écrire ce n’est rien sans la parole.
Je ne compte plus mes pages elles sont vides de vie,
Ma parole n’est plus la pour chanter ma poésie
Maudites souffrances,
Vous m’avez tout volé.
Je vous haïes
De tout mon sang
De tout mon corps
De toute mon âme
Je ne souhaite plus que de pouvoir vous haïr avec les mots
Vous haïr avec la poésie
Léo
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Quand les élement s'agitent
Quand le vent souffles
Les maux s’envolent
Les peurs se sauvent
Les cauchemars se cache
Et la tristesse disparaît
Quand le feu crépite
Les démons surgissent
Le diable raille
La joie s’échappe
Et la peur se glace
Quand la terre s’agite
Il n’y a rien à dire
C’est quelle est en furie
Des erreurs des hommes
Des guerres des autres
Et des tirailles des chiens
Quand l’eau s’affole
Ce n’est pas n’est pas bon présage
C’est que le malheur et là
Tapie dans le feuillage
Tapie dans nos peurs
Et nos pires crainte
Léo
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Soleil levant
Soleil levant
Rime avec
Lune grésillante
Ralliement assommant
Bâillement matinal
Petit déjeuner trivial
Début de l’école
Début des rigoles
Fin de la nuit
Fin des bruits
Commencement des ennuie
Commencement des soucie
Départ de la vie
Fin des agonies
Léo
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Quand elle a rejoins les hauteurs
Quand elle a rejoins les hauteurs
Je ne pouvais plus pleurer
J’avais déjà versé toutes mes larmes
Dans un océan de misère
Qu’est la vie
Quand elle a rejoins les hauteur
J’ai crié
L’Echos de ma voie
Résonna dans les parois
De mon âme
En désarroi
Quand elle a rejoins les hauteurs
C’est mon cœur qui a pleuré
Pleurer en silence
Accumulent toute ma rage
Mais quand ma rage incontrôlable
Déferlera
Tel un océan sauvage
C’est la mort
Qui reculera
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Quand j'écrit
Quand j’écris
Je me libère
Me libère de mes souffrances
Me libère de mes secrets
Me libère de mes angoisses
Quand j’écris
Je m’échappe
M’échappe du monde
Et je me réfugie dans le mien
Celui de la poésie
Je me réfugie dans mes écrits
Je pleur dans mes mots
Les larmes que je n’ai plus
Je crie dans mes vers
Avec la voix que je ne possède plus
Et ma souffrance je vous donnent
Dans ces poème si fragiles
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Espace
Espace lointain mais si proche
Ou se reflete le brillant de tes yeux
Il y’a l’espace dans mon cœur
Pour accueillir tout ton amour
Mais pourtant il y’a cet espace
Qui nous sépare l’un a l’autre
Nous sépare de cette amour
Dans l’espace du temps
Cet une interface
Qui reste à franchir
L’espace d’une seconde
Et c’est fini
L’espace est une barrière
Mais aussi une passerelle
Qui rejoint nos cœurs
L’espace d’un instant
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La mort est une chose
La vie en est une autre
LA mort c'est la vie
La vie c'est la mort
La mort c'est le debut de la vie
La vie cest la fin de la mort
Elle est morte
Mais elle vie dans mon coeur
La mort n'est pas triste
Car c'est la vie
La vie est morte
Quand la mort n'est plus vie
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Cette nuit là
Le soleil illuminait mon cœur
Ta voix, que j’entendais chanter
Avec le chœur de la lune
Et la symphonie des grillons
Tu faisais hurler les loups
Mes cheveux volaient
Sous l’effet de ce vent de notes
C’était une musique triste
Et tu dansais
Avec les larmes des étoiles
La lune si attristée
S’éteignit
Et je m’endormis
leo
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Dans le noir de tes yeux
J’ai vu un poème
Celui qui les faisait briller
De cette couleur malice
Il faisait battre mon cœur
A la vitesse de la torpeur
Il faisait danser mes sens
De ces vers fruités
Ces fruits défendus
Ces fruits convoités
Par les démons moqueurs
Et les anges intrépides
C’est le fruit d’Adam et Eve
Qui pousse dans tes yeux
C’est la vie toute entière
Que je rêve dans tes yeux
Et c’est tes yeux si brillants
Qui racontent l’infinie poésie
Mais moi ce que je veux
C’est exister à tes yeux
léo
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Pourquoi des gens méchants
Font des choses si cruelles
Des choses sans intérêt
Qui n'ont pas lieu d’être
Des choses qui rendent tristes
Et qui portent malheur
Ils verront le pire des endroits
Le cœur en colère
En colère d’être seul
Ragé d’être spécial
Et voulant une revanche
Sur la vie si méchante
Mais la meilleure des luttes
C’est celle de l’amitié
L’amitié sans rancune
L’amitié sans secret
Celle sans querelle
Celle qui bât des ailes
Les gens rancuniers finissent seul à errer
Mais les gens différents
Rencontrent leur espoir
L’espoir de la poésie
La poésie triste
Ou celle de l’amour
L’amour magique
Quant aux gens mis à part
Ils la comprennent et l’aiment
Mais ils sont écartés
Là, est le problème
Une personne diferente mais aussi mis à part
Fait des plus beaux poèmes
Et trouve la sérénité
Dans la poésie qui lui a tout donné
Donné des amies
Donné une fierté
Donné l’espoir de rêver
De rêver d’une vie
Dans le plus beau des mondes
Celui de la poésie.
léo
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la salle d'attente
La salle d’attente
C’est un endroit vide
Où la morosité règne
Dans le pire des calvaires
Tu entends le silence
Le silence frêle
Celui qui te souffle au visage
Et te murmure la balade
De la plane solitude
Tu attends le verdict
Celui de la vérité
Et de la liberté
Avec les gens sceptiques
Les ombres apocalyptiques
Cette sensation, elle éradique
Celle de l’obstination
De la grande frustration
De devoir attendre et se taire
Dans cette guerre de misère
Les gens attendent que la porte s’ouvre
La porte de la délivrance
Et de la fin du silence
La porte de la sortie de secours
Celle sans retour
Mais remplie d’amour
C’est la porte à franchir
Pour pouvoir vivre la vie
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Dans un regard noir
J'ai vu une bougie
Qui brillait d'une lueur acre
J'y ai vu un souvenir
Qui glisser sur cet océan paisible
Qu'est le bleu de tes yeux
J'ai vu une larme
Qui roulait sur ta joue
Reflétant l'ombre
D'un amour déchu
Qui restera à tout jamais
Graver dans tes yeux